Dans le Hall

L'été était arrivé vite cette année-là, Teresa et sa jeune soeur avait fait vite fait leur bagage et était partie de Madrid en Espagne pour rejoindre le reste de leur famille en Angletterre à la capitale Londres. Leurs parents avaient préféré restés à Madrid, après leur avoir dit aurevoir, elles étaient parties...Le voyage avait été long et fatiguant, les deux jeunes filles arrivèrent à Londres, là elles prirent un taxi jusqu'au manoir des Fernandez. Elles y étaient arrivées un peu plus tard, le taxi les avait déposé puis il était reparti comme il était venu. Teresa entra dans le hall du manoir et laissa tomber par-terre ses valises

"Fiouu enfin arriver !!"

Elle regarda autour d'elle, ce manoir était d'une extrême beauté, elle en fut émerveillée

*Je sens que je vais m'éclater ici, et puis avec le boulot qu'il y aura je risque pas de m'ennuyer*

Effectivement, Teresa avait été engagé par son oncle pour être serveuse dans son restaurant le Significativo. L'idée lui avait plus et étant bosseuse cela ne l'avait pas déranger!
Teresa regarda encore une fois autour d'elle pour voir si il y avait quelqu'un

"Eho !! Vous êtes où!!?!!!"

Cria-t-elle en s'avancant un peu plus dans le Hall
Elle posa ses mains sur ses hanches et attendit que quelqu'un arrive, elle se demandait quand même où ils étaient tous passés, le Hall était calme et désert.
Heureusement que les décorations étaient colorées et accueillantes sinon tout cela aurait pu lui donner la chair de poule

Suivant de près sa sœur dans le grand hall du manoir des Fernandez, Isabela, les mains chargées de valises que le chauffeur de taxi n’avait pas voulu rentrer poussa un grognement sourd. Elle avait probablement amené trop de choses. Mais sur les deux grosses valises qu’elle avait en main, une seule contenait des vêtements. L’autre, quant à elle, était remplie de toiles, pinceau, feuilles et crayons de dessin, bref tout ce dont elle ne pouvait se passer pendant un été complet. L’appel de sa sœur lui arracha un petit sourire, et la plus jeune des Fernandez déposa ses valises au sol, vieillant à faire le moins de bruit possible.

« Ils nous ont peut-être oublié… »

Suggéra-t-elle en haussant les épaules, bien que cette possibilité soit à rayer. Edouardo n’oubliait jamais rien. Délicatement, Isabela repoussa une mèche chocolat derrière son oreille, et releva légèrement, au niveau de ses avant-bras, sa veste noire.

« Peut-être même qu’ils dorment… Je vois bien oncle Edouardo fêter jusqu’aux petites heures du matin. »

Dit-elle de nouveau, étouffant un léger rire à l’image de son parrain faisant la fête. En retrait derrière sa sœur, qui attendait de pied ferme quelconque trace de vie, Isabela lissa d’une main sa courte jupe à volants, observant comme elle le faisait chaque année la beauté du lieu où elle allait passer son été. Ça s’annonçait plus que bien.

«J’avais oublié que les chauffeurs de taxi Londoniens pouvaient être si déplaisants…»

Dit-elle subitement, dans un anglais presque impeccable malgré l’accent. Les voyages familiaux n’avaient suffit à Isabela, qui en plus avait pris, pendant l’année, quelques cours d’anglais pour être à la hauteur. Malgré ses immenses progrès persistait malgré tout dans ses mots l’accent chantant espagnol, qu’elle ne désirait d’ailleurs pas perdre. Les yeux braqués sur sa sœur, Isa haussa une nouvelle fois les épaules. Le chauffeur n’avait pas été des plus sympathique, en effet. Elles y survivraient.
Avec un petit bâillement, qu’elle camoufla derrière sa main, Isa s’avança légèrement, et se plaça juste derrière sa sœur, qu’elle pinça doucement au niveau de la hanche gauche. Une de ses nombreuses habitudes lorsqu’elle voulait l’embêter…

« Mais tu m’adore, non ? »

Demanda Isabela lorsque Teresa se tourna vers elle, manquant de peu de faire tomber Isa qui s’éloigna, adoptant comme chaque fois que sa sœur lui reprochait quelque chose ce petit air de chien battu qui la rendait irrésistible. Mais la jeune Perez reprit bien vite un air des plus normal et jovial lorsque la voix puissante et forte de son parrain se répercuta dans le hall. Bien vite, Edouardo et Illiana, sa tante chérie et adorée, apparurent devant eux. Il manquait les enfants ; Mais l’absence de Sofia ne peinait pas plus que ça Isabela, et pour cause.

« Mon oncle chéri ! »

S’exclama Isabela alors qu’elle prenait fortement Edouardo dans ses bras, essayant en vain de lui rendre la force de son étreinte. Elle lui rendit sa bise bruyante, et se détacha de son étreinte pour s’approcher d’Illiana, qu’elle serra dans ses bras tout comme Teresa, moins fortement qu’Edouardo.

« Et ma tante adorée ! »

Ajouta-t-elle en déposant deux baisers légers et furtifs sur les joues de sa tante, s’éloignant ensuite à sa place initiale alors qu’une voix plaintive s’éleva, voix qu’Isabela reconnu de suite. Immobile, Isa leva les yeux, et suivit la descente de Fabio qui vint les rejoindre. Un bref regard lancé à sa sœur la fit sourire. Teresa avait toujours été sa confidente, et la savoir dans le lourd secret qui la pesait la soulageait, encore plus de savoir que même si l’aveu l’avait choquée, elle n’en était pas moins restée une confidente admirable. Stoïque et impassible, Teresa attendit patiemment son tour pendant que Fabio saluait Teresa. Il avait l’air… crevé. Soit la nuit dernière avait été riche en fête, et ce qui venait avec, soit son travail au bar l’avait retenu la veille.

« Tu m’as l’air en pleine forme Fabio… »

Le salua-t-elle d’une voix basse mais ferme alors qu’elle lui rendait délicatement sa bise, croisant son regard avec une pointe d’amusement. Lentement, Isabela reposa son regard sur sa tante, et se contenta d’acquiescer alors qu’elle expliquait la raison de l’absence de Leandro.

« Parfait. De toute manière, nous avons l’été pour voir notre cher cousin. »

Répondit-elle, accompagnant sa phrase d’un grand sourire, sans rien montrer de l’ironie dont elle avait fait preuve. Le cher cousin, oui, l’été entier. La ‘chère’ cousine, par contre, préférerait probablement restée cachée pendant deux mois, ce qui était loin de déplaire à Isabela.

« Tu vas avoir à m’apprendre les ficelles des métiers du bar, cousin… »

Ajouta-t-elle brusquement, tournant la tête vers Fabio, un sourire amusé aux lèvres alors qu’elle détournait la tête vers son oncle et sa tante.

« D’ailleurs, un grand merci pour l’emploi que vous nous avez proposer. J’espère être à la hauteur ! »

Les remercia-t-elle d’un grand sourire, finissant sa phrase en un rire clair qui sembla se répercuter dans le gigantesque hall pendant que, de nouveau silencieuse, Isabela rajustait sur son épaule son sac, et redressait doucement une valise qui menaçait de basculer.

(HJ: Vivement qu'ils arrivent car je m'imagine mal jouer l'oncle longtemps )

En entendant les paroles d'Isabela, Fabio roula un peu ses yeux en souriant. Oui il n'avait pas l'air sur son meilleur jour mais il avait une bonne raison. Il jeta un coup d'oeil à son père et à sa mère puis il regarda sa cousine à nouveau.

"Ça, il faut le dire à mes parents pour qu'ils arrêtent de me donner le travail de nuit tout les jours ou presque tout les jours..."

Précisa-t-il en voyant le regard réprobateur de son père. Après qu'il eut rajouter le presque, son père sourit et parut satisfait. Le jeune homme tourna ensuite la tête vers sa mère qui signala l'absence de Leandro puis il soupira en secouant légèrement la tête d'un air amusé.

"Rhalala toujours en ville celui-la!"

En entendant les paroles d'Isabela, Fabio sourit car il avait presque oublier qu'elle allait être de service avec lui du côté du bar. Il sourit en coin en cherchant la bonne réplique à lui faire puis il tourna son regard emplit de malice vers elle.

"Mais ce sera un plaisir. Par contre, va me falloir de l'argent supplémentaire pour l'endurer celle-la."

Bien entendut il ne pensait pas ce qu'il disait. Il était bien content qu'elle travail avec lui car il pourrait lui parler au boulot. Avant qu'il n'eut le temps de rajouter quelque chose, la voix rauque de son père s'éleva à nouveau.

"Mais biensûr que vous serez à la hauteur mesdemoiselles et puis si vous avez besoin d'aide, il y aura de la famille dans tout les recoins du restaurant.!"

Repoussant par la même occasion une mèche foncée derrière son oreille, Isa tourna la tête vers sa sœur au moment où celle-ci s’amusait décidemment aux dépend du pauvre Fabio. Lentement, avec des gestes précis et calculés comme elle en avait l’habitude, Isabela croisa les bras, et lança à son cousin un sourire amusé, limite moqueur, alors qu’elle ripostait :

« Feignant ? Voyons Teresa tu es trop dure avec lui, le pauvre petit il se tue au travail… »

Dit-elle simplement, haussant les épaules comme la bonne samaritaine venant au secours de son protégé. Attitude qui n’avait en soi rien de louche pour le reste de la famille ; De celles qui adorent s’amuser, Isabela s’amusait toujours de lancer quelques phrases de comédies, et pour ce elle prenait souvent le parti contraire aux autres.
La deuxième phrase que lança Teresa à l’adresse de Fabio arracha à Isa un léger rire, à la fois moqueur et désespéré, et les bras toujours croisés, elle se contenta de poser son regard sur son oncle et sa tante, arquant un sourcil tout en souriant d’un de ses petits sourires en coins amusés.

« Vous vous rendez compte qu’en général c’est sur moi qu’elle s’acharne comme ça ? Je vous remercie d’avoir fait de Fabio quelqu’un de pire que moi, si c’est possible… »

Rétorqua-t-elle, sur son ton qui indiquait clairement la plaisanterie derrière sa phrase. Non seulement Teresa n’était pas toujours sur son dos, comme elle venait de le prétendre, mais de plus Fabio n’avait rien à se reprocher question éducation. Une simple farce donc. Un bref moment, Isabela baissa les yeux sur le bagage de Teresa, mais releva bien vite son regard lorsque la voix de Fabio se fit entendre. Après lui avoir jeté un regard faussement noir, un sourire couvrit presque contre son gré ses lèvres rosées.

« Si m’endurer est si désagréable Fabio, ne te donne pas cette peine, je demanderai à Leandro… »

Répondit-elle, feignant une indifférence qui était tout sauf vrai. Nonchalamment, elle haussa les épaules, sans pour autant lâcher son cousin des yeux qu’elle fixait avec cette lueur de moquerie qui lui était propre. Loin d’être méchante, ce n’était que la preuve de l’amusement facile dont faisait preuve la jeune femme, qui pouvait facilement prétendre ne pas souvent être capable de rire d’une situation.

« Hum, oui… »

Dit la jeune femme au bout d’un instant, répondant à la question de sa sœur tout en détachant son regard noir-bleu de Fabio. Brusquement, elle retourna la tête vers sa sœur, et reposa les yeux sur son oncle et sa tante à qui elle adressa un sourire convaincu.

« Bien sur. Je me suis toujours dit que j’étais fait pour être serveuse… »

Ajouta-t-elle avec un fin sourire, relevant machinalement les manches de sa veste qui, bien que fort jolie, n’était pas la meilleure des idées en cette journée chaude.

"Oui..."

Dit-il en voyant que Teresa prenait son partit pour l'instant. Il tourna la tête vers Teresa avant de lui sourire et de lui faire une grimace. C'était bien vrai qu'il travaillait beaucoup dernièrement et il avait hâte que ses cousines arrivent pour les aider un peu dans le restaurant.

"Bah tu mois, il y en a au moins une qui prend pour la bonne personne!"

Contrairement à ce que Teresa pouvait penser, ses parents ne se doutaient surement de rien de ce qui se passait entre Fab et Isa car tout les deux se taquinaient depuis bien longtemps pour laisser des souçons à ses vieux. Fabio grimaça et se repassa la main sur la tête au cas ou ses cheveux seraient un peu en l'air. Fabio regarda Isa en se mordillant la lèvre lorsqu'elle passa un commentaire. Il croisa ses bras contre son torse dans un mouvement lent et fit un petit rire irronique avant de faire un sourire amusé.

"Pire que toi... alors là je crois que l'on devra parler de cela tout à l'heure mamezelle Perez."

Avant que ses parents n'eurent le temps de dire quelque chose au commentaire de sa cousine, Fabio décida de rétorquer quelque chose avant que ses parents ne changent d'avis et décide de demander à Leandro de montrer ce qu'il y avait à savoir à propos du bar.

"Non je fais ce que l'on me demande car je ne suis pas feignant. Je vais pouvoir te taquiner alors je vais bien m'amuser."

Edouardo démontra sa dentition en affichant un large sourire à l'intention de ses deux nièces. Il les appréciait beaucoup et savait qu'elles n'allaient pas le décevoir. Edouardo fit donc signe à Fabio de ramasser les bagages d'Isabela en un claquement de doigts sonnore. Edouardo ramassa donc les bagages de Teresa.

"Oh mais nous ne nous inquiètons pas à se sujet, nous avons totalement confiance en vous et puis, que pourriez-vous faire qui ne serait pas en notre avantage? Fabio, dis bonjour à la politesse et porte un peu les bagages de ta cousine stp."

*Je ne suis pas polie? C'est super à savoir.*

Fabio n'accorda aucun regard à ses parents sachant que son père ne manquerait pas d'une occasion de le ridiculiser devant le reste de sa famille. Edouardo était un homme avec un fort caractère qui se disait le maître de sa famille et prenait tout les plus jeunes comme vulnérable mais il s'en prenait plus à ses propres enfants. Le jeune homme se dirigea vers la bagages de sa cousine et les prit dans ses mains. Il grimaça en constatant que c'était plus lourd qu'il aurait crut.

"Bordel, mais qu'est-ce que tu as emporter?"

"Pire que toi... alors là je crois que l'on devra parler de cela tout à l'heure mamezelle Perez."
À ces mots, Isabela ne pu s’empêcher de sourire, et reposa les yeux sur son cousin, le fixant sans se départir de son sourire en coin qui semblait fortement encré dans les traits de son visage. Elle n’aurait pu imaginer mieux comme retour dans sa famille… Son oncle était toujours aussi… accueillant, sa tante calme mais charismatique, et Fabio était toujours… lui-même, ce qui était amplement suffisant.

«Essaierais-tu par là d’insinuer que je sois une vraie petite peste, mister Fernandez ?»

Lui demanda-t-elle d’un ton sarcastique, arquant un sourcil alors qu’elle pivotait légèrement, question d’être parfaitement de face à Fabio. Après s’être brièvement intéressé à son ongle du pouce gauche, le fixant un bref moment comme s’il y avait un tache, Isa releva les yeux vers son cousin, qui soudainement montrait un quelconque intérêt à lui enseigner les règles d’or du bar.

« Ravie de voir que tu te préoccupe à ce point de moi… »

Répondit-elle avec un fin sourire alors que d’un claquement, Edouardo faisait comprendre à son fils que l’heure de montée les valises était sonnée. Le commentaire d’Edouardo arracha une légère grimace à Isabela, qui le plus naturellement du monde lança brièvement :

« Voyons Edouardo, si tu savais, ton fils est probablement l’homme le plus poli de Londres ! La preuve ; Il m’endurera pour m’apprendre à travailler au bar… C’est pas des plus galant ça ? »

Dit-elle, finissant sa phrase dans un léger rire en suivant Fabio qui allait s’emparer de ses valises. Sa phrase, bien qu’un compliment en effet, n’était qu’une simple et gentille banalité qu’elle avait lancée pour détendre l’atmosphère, qu’elle trouvait lourde par les commentaires de son parrain.
Avec un sourire des plus amusés, Isabela tourna la tête vers Fabio, qui semblait apparemment surpris du poid des lourdes valises d’Isa.

« L’attirail complet pour te gâcher la vie cher cousin… »

Répondit bonnement la jeune femme qui semblait sérieuse comme tout. Après avoir lancé un léger sourire à sa tante, son oncle et sa sœur, elle fit un pas dans l’escalier, et reposa ses yeux sur Fabio.

« Alors, où est ma chambre ? »

Lança-t-elle, profitant de son statut d’inviter, tout cela en plaisantant bien sur. Croisant le regard de Fabio, elle lui fit une rapide grimace, et sur un ton doux, et nettement moins moqueur elle ajouta :

« T’as besoin d’aide ? Je peux en monter une si tu veux… »

Après la réplique de sa soeur Teresa tourna la tête vers elle, les bras croisait sur sa poitrine et lui rétorqua le plus bonement calme, comme si de rien n'était et comme si tout cela était parfaitement normal

"Non Isabela je ne suis pas dure je suis réaliste, il se tut a la tâche ?? C'est vrai le pauvre regarde moi ca il est tout maîgrichon"

Teresa s'approcha de Fabio d'un pas lent qui cachait quelque chose et un sourire malicieux figé sur ses lèvres. Arrivée à sa hauteur, elle leva la main et lui pinca la joue comme si c'était un enfant

"Regardez, vous ne le trouvez pas un peu pâlichon !! Oncle Edouardo, le pauvre tu lui donnes vraiment trop de travail !!!"

Dit-elle ironiquement biensur, voyant la tête qu'il tirait elle ne put s'empecher d'eclater de rire et de lui donner une tape amicale sur l'épaule

"Fais pas cette tête cousin, je rigole !!!"

Teresa retourna près de son sac essayant de calmer son rire, elle se remit dans la même position regardant tour à tour tout le monde présent dans la pièce.
Quand elle entendit sa soeur rire, Teresa tourna la tête vers elle mais celle-ci regardait son parrain et sa tante, elle fronca les sourcils quand Isabela débita son petit discours

"C'est sûr que tu es une petite fille martyrisée, vous voyez pas elle a des bleus partout, je suis une bourreau d'enfant que voulez-vous !!"

Répliqua-t-elle tout bonnement aussi ironiquement qu'elle. Biensur ce n'etait pas vrai, Teresa taquinait parfois sa soeur mais rien de plus et c'est normal entre soeurs non ?? Pour rien au monde, Teresa souhaiterai qu'il arrive malheur à sa soeur et si quelqu'un s'y risquer il aurait à faire à elle
Teresa regarda ensuite la scène entre sa soeur et son cousin, ils se lancaient des vannes à tour de rôle et cela l'amuser assez, elle se retenait de leur rire à la tête, non mais franchement de vrai petit gamin!! Teresa leva les yeux au ciel et dit tout doucement

"Oh mon dieu qu'est ce que j'ai fais pour avoir une soeur pareille, et le cousin qui s'arrange pas!"

Dit-elle sur un ton qui montrait bien qu'elle plaisantait en disant cette phrase-là. Non seulement elle adorait sa petite soeur comme elle était c'etait d'ailleur cela qui faisait qu'elle etait elle mais elle appréciait beaucoup son cousin meme si ils etaient sans cesse en train de se taquiner.
Fabio prit enfin la parole, Teresa pouffa de rire encore une fois

"Tu sais Fabio c'était ironique, je ne prenais pas trop ton parti mais bon allez si t'es gentil promis je le prendrai et je te defendrai corp et âme"

Plus, elle ajouta tout bas avec un malin petit sourire

"C'est pas demain la veille"

Elle releva la tête mine de rien et fit un large sourire à son cousin
Fabio et Isabela était encore en train de se chamailler quand son oncle Edouardo claqua dans ses doigts pour arrêter tout ca, il s'approcha de Teresa et prit son sac/bagage puis intima à Fabio de faire de même avec ceux d'Isabela, Teresa se retena d'eclater de rire, le pauvre Fabio, il ne savait pas ce qu'il l'attendair, les valises d'Isabela était tellement lourde quand Espagne son père avait du presque les traîner par-terre et pourtant il était quand même gaillard. Teresa se demandait parfois si elle n'y rajoutait pas des pierres à l'intérieur, pas possible que ce soit aussi lourd quand même !!
En passant devant Fabio, elle posa sa main sur son épaule et lui chuchota un petit courage car elle savait ce qu'il l'attendait, lui par contre ne paraissait pas comprendre et la regarda d'un air surpris, elle retira sa main et continua son chemin un sourire à la commissure des lèvres, Fabio quant à lui alla chercher la valise, il comprit bien vite pourquoi Teresa lui avait dit cela et retorqua une réplique sanglante à Isabela

«Essaierais-tu par là d’insinuer que je sois une vraie petite peste, mister Fernandez ?»

Cette phrase là prononcer par sa propre soeur la fit sourire, elle se retourna et la regarda le sourire toujours accroché à ses lèvres

"De ce côté la je suis entièrement d'accord avec toi Fabio et je t'en pris Isabela ne le renie pas tu en ai une et une vrai ! Mais bon c'est pour çà qu'on t'aime comme tu es non ??"

Teresa haussa un sourcil et emit un petit rire léger et crystallin
Quand Isabela repondit à la question de Fabio à propos de ses hyper lourdes valises, Teresa pouffa de rire

"Mon pauvre Fabio tu en as bien du courage !! Je vous bénis Oncle Edouardo de ne pas m'avoir mise au bar, je ne l'aurai pas supporter avec ses deux là qui vont se chamailler sans cesse ! Pauvres clients et clientes!"

Teresa qui avait marché à la même allure que sa soeur arriva avec elle en bas des marches de l'escalier et souria à sa réplique

"Voyons chère mademoiselle Perez, patience est signe de vertu, alors soyez le et arretez d'etre modeste !!"

Dit-elle sur le ton de l'ironie, Teresa fit un clin d'oeil entendu à sa jeune soeur
Puis elle éclata littéralement de rire en voyant ce pauvre Fabio peiné avec les valises

"Le pauvre il arrivera jamais en haut des marches, il nous fera une syncope avant !!"

Teresa posa tout bonement les mains sur ses hanches

"Isabela tu exagères quand meme !!"

Repondit-elle toujours aussi ironiquement.
Fabio n'avait pas beaucoup de chance, cela faisait tellement longtemps que les filles ne l'avaient pas vu qu'elles s'acharnaient completement sur lui, il faut dire aussi qu'il leur ouvrait une voie très facile !! Peut-etre le lacheront-elles une fois Léandro ici, mais ca c'est pas sur car Teresa prenait un malin plaisir a le tourmenter, toujours gentillement biensur ! en aucun cas elle voulait se facher avec son cousin et ca elle esperait qu'il le comprenait

Pendant un instant Fabio crut que sa cousine allait prendre sa part mais il se trompait en voyant la suite. Bref, si elle prenait sa part, c'était pour soit pour lui répliquer une phrase d'enfer ou pour le taquiner d'une façon quelconque. Fabio regarda Teresa lui pincer la joue et il ne put s'empêcher de grimacer car ce n'était pas quelque chose qu'il appréciait vraiment. Quand il était grincheux - soit, assez souvent -, la femme de ménage Martha lui pinçait les joues pour le taquiner et il détestait.

"Je ne suis pas maîgrichon... J'ai des muscles tu sauras. Pâlichon? Maîgrichon, Pâlichon et Bourichon quand à y être. Tété c'est toi la maîgrichonne entre nous deux!"

Fab écouta Teresa parler d'Isabela comme une petite fille bâtut. Fabio croisa à nouveau ses bras contre son torse en fixant Teresa d'un regard méchant mais elle savait bien qu'il jouait la comédie. Parfois, il fallait savoir se mettre dans les jeux des autres et autres fois, tout simplement s'bastenir. Bien cette fois-ci, il avait choisit le premier choix.

"Alors si c'est vrai, on le verra bien lorsque Isa ferait trempette!"

Il savait que Teresa ne ferait jamais rien de la sorte à sa soeur puisqu'elle y tenait et que Isa comptait beaucoup pour elle. Contrairement à elles, lui et son frère c'était autres choses. Deux garçons, c'était largement différent et beaucoup plus chamaillard quoi que maintenant, ils étaient plus mâture alors qu'avant...

"Mais je suis déjà gentil! Grosse Tâche Svelte!"

Fabio fixa Teresa en tentant de deviner ce que ses paroles voulaient dire. Il se les répéta plusieurs fois dans sa tête mais ne réussit pas à trouver leurs signification. Il regarda Teresa et répéta d'une voix basse. «Demain la veille? Mais de quoi tu parles?» Il avait attendit qu'elle lui réponde puis haussa ses épaules. Fabio tourna la tête vers Isabela et plaça son index sous son menton en laissant un petit bruit s'échapper de sa bouche. Il bougea sa tête de droite à gauche sur ses épaules puis il la regarda et hocha la tête d'un grand sourire. Fabio tourna la tête vers Teresa content qu'elle prenne enfin sa part pour une chose depuis son arrivée. Lorsque Fabio fut près d'Isabela, il lui sourit et murmura;

"Parce que je devrais faire le contraire?"

Demanda-t-il à sa cousine lorsque celle-ci lui répondit qu'elle était ravie qu'il se préoccupe d'elle. Il tourna la tête vers Isabela en arquant un sourcil puis il secoua la tête négativement accompagner d'un bruit de désacord.

"Non pas du tout, je n'y vois pas la politesse! La galanterie... peut-être mais pas la politesse. Enfin pas pour lui."

Après les nombreuses répliques qu'Isabela, Teresa et Fabio se lançait à courte intervalle, la voix tonitruente de l'oncle s'éleva à nouveau pour mettre fin à leurs chamailleries pendant seulement quelques secondes. «Il sera au bar, et elle se promenera alors ils ne seront pas ensemble. Puis si il fait des siennes, il aura à faire à moi mon gamin.» Prononça-t-il en fixant Fabio d'un air sérieux. Celui-ci le regarda et lui adressa un faux sourire avant de murmurer un juron qu'Edouardo ne pouvait pas entendre. Il tourna ensuite la tête vers Isabela et haussa les épaules.

"Mais tu ne me gâche pas la vie, loin de là."

Fabio allait répondre à Isabela lorsque Teresa répliqua ce qu'il allait dire. Il hocha la tête et regarda Isabela avant de lui tirer la langue. Il n'allait pas lui dire tout de suite où était sa chambre car de toute façon, elle devait le savoir puisque c'était toujours la même chambre qu'elles avaient puisqu'elles leurs avaient été réservés. Il regarda Teresa et fit un regard noir d'un air vexé.

"Non mais t'as finis de me sous-estimer? Je n'ai pas de force parce que je viens de me réveiller et que je n'ai rien manger. Je t'ai dis que j'avais des muscles, tu vas me croire? Je ne fais pas du surf et du temps en Gym pour rien tu sauras."

Dit-il en la taquinant. Peut-être avait-il dit cela un peu plus sérieusement que ses répliques précédente car tout le monde s'acharnait sur lui et ça commençait à l'énerver. Fabio était susceptible et il se vexait donc rapidement. Il se tourna vers Isabela et fit un petit sourire en secouant la tête. Il allait réussir à les monter jusqu'en haut et il n'allait pas donner une chance à son père de l'humilier encore.

"Non ça va je vais y arriver."

Fabio ne prononça aucun mots pour l'instant puis il arriva sur le palier suivant avec l'aide d'Edouardo. Celui-ci s'arrêta devant une porte plus loin qui était celle de Teresa et Fabio s'arrêta devant la porte de la chambre à côté et prit la clef qu'on lui avait donner. Il dévérouilla la porte et tendit la clef à Isabela. Edouardo fit de même pour celle de Teresa.

"Tien si tu tiens à être seule, on a des clefs maintenant."

Teresa souria en voyant la tête que faisait son cousin quand elle le pinca, elle adorait plus que tout le taquiner car elle savait très bien qu'il démarrait au quart de tour, sans trop savoir pourquoi elle aimait le faire enrage, ca la faisait bien rire en tout cas. Vilaine ?? Mais non voyons, seulement Teresa aime s'amuser et le taquiner...

"C'est bien mon petit tu fais des rimes, décidément tu t'améliores de jour en jour ! Si si j'insiste tu m'impressionnes beaucoup!"

Dit-elle tout aussi ironiquement, puis quand il parla du mot "maîgrichon" cela la fit sourire, elle le regarda de haut en bas puis le pinca au niveau des côtes

"Oh oui tu as raison tu n'es pas du tout maîgrichon, regardez moi cette graisse !! ouhhh va falloir que je m'occupe sérieusement de ton cas ! Je te promets et je te garantis que tu vas avoir la vie dure ! Levé très tôt avec un petit jogging avant le boulot tu vas voir ca fait du bien et ca te mettra en forme pour la journée et tu me bruleras tout ca en plus ! Et finis le grignotage car je te connais hein ! toujours fourrer dans la cuisine celui-là !!!"

Satisfaite d'elle, elle afficha un petit sourire et lui donna un coup de coude limite morte de rire, biensur encore une fois elle le taquinait quoique le jogging peut-etre qu'elle le ferait en tout cas elle c'est dans ses habitudes et si lui non ca va le devenir très vite car même si elle adore s'amuser Teresa a un grand sens de la persuation

"Moi!!!?!!! Je ne suis pas maîgrichonne du tout, je suis très bien comme je suis merci bien !"

Puis Teresa arqua un sourcil

"Tété ????! Ca va pas le pauvre, il commence à parler comme les bébés, mon dieu; ma pauvre Isabela je te plains quand meme si il parle toute la journée comme ca vive la honte !!!"

Teresa souria en coin puis écouta Fabio parler et hocha la tête etant d'accord (pour une fois^^) avec lui

"Oh que oui tu vas voir, on voit meme pas un millimètre de sa peau tellement elle est couverte de bleu !"

*Ohh le coquin il attend que ca qu'elle aille se baigner pour mieux la matter, quel pervers !!! Va falloir que je lui en touche un mot non mais !*

A ses pensées, Teresa ne put s'empecher de sourire, heureusement qu'elle n'a pas eclaté de rire sinon ils se saurait tous demander pourquoi et le secret de la relation Isabela/Fabio devait rester totalement secret même si une de leur cousine Sofia soeur de Fabio était au courant malencontreusement

"Toi! Gentil!! Faut le dire extrêmement vite !!!................Non je rigole ! Rohlalala! c'est bon on le sait que t'es gentil, un vrai petit prince charmant !!!"

Teresa leva les yeux au ciel et soupira

"Qu'est ce qui faut pas faire parfois quand même"

Teresa regarda Fabio, il avait l'air perdu dans ses réflexions, pour une fois qu'il réfléchissait c'était pas tous les jours en tout cas !!!
Elle le regarda se pencher sur sa jeune soeur et lui murmurer quelque chose à l'oreille que seule Isabela pouvait entendre, Teresa grimaca et tourna le regard vers son oncle et sa tante, heursusement ils n'avaient pas vu la scène trop occuper à se parler entre eux
Teresa fronca les sourcils quand Fabio parla de politesses et de galanteries, elle n'avait pas très bien capter le sens de sa phrase et ce qu'il voulait dire par là, elle finit par secouer légèrement la tête s'enlevant cette pensée de l'esprit
Teresa se tourna ensuite vers son oncle qui avait pris la parole

"Je n'en doute pas mon oncle ! Quant à moi avec qui je travaille déjà ??"

Teresa regarda Fabio tirer la langue à Isabela et pouffa doucement de rire avant que ce dernier se retourne vers elle, elle lui fit un large sourire

"Je ne te sous-estimes pas je ne fais que constater c'est tout ! Et d'ailleurs ce n'est pas de ta faute si ma soeur a embarqué toute la maison dans ses valises!! Et comme d'habitude il y aura les trois quarts des choses qu'elle n'utilisera pas !!"

Teresa haussa les epaules en faisant une petite moue désolé pour lui

"Ouhlalala !! Mais c'est qu'il est fort le petit !! Du surf ??!! En Angletterre; à Londres !!!"

Teresa fronca les sourcils comment pouvait-il faire du surf ici, il n'y avait pas de mer à Londres et l'eau était glaciale de ce coté-ci du globe
Au ton de sa voix elle avait bien compris que cela l'enerver toutes ses remarques et s'est justement ce qu'elle attendait, comme elle savait très bien qui s'énervait vite surtout si il etait pas encore tout à fait reveiller!!
Teresa ne dit plus rien et suivit toute la petite troupe jusqu'a l'étage, Teresa marchait d'un pas sur se doutant que leur chambre était toujours les meme vu que c'etait leur propre chambre reserver qu'a elles. Alors que Fabio et Isabela s'arretèrent devant une porte, Edouardo et Teresa continuèrent jusqu'a la suivante...Avant d'entrer dans sa chambre Teresa jeta un dernier coup d'oeil au deux amoureux puis elle entra dans la chambre où Edouardo avait posé sa valise sur le lit deux places avec des draps magnifiques et soyeux. La peinture sur les murs étaient bleu ainsi que les rideaux, les draps, le lit, tout était presque bleu car ils savaient très bien que Teresa adorait le bleu et les autres couleurs chaudes significatifs de la ou elle venait l'Espagne !!

"Comme avant rien n'a changé! C'est vraiment magnifique ici !! J'adore !!"

Teresa souria contente puis ouvrit sa valise, la première chose qu'elle fit s'est mettre des photos sur sa table de chevet, sur l'une étaient photographiés ses parents, sur une autre, elle et sa soeur encore bébé, sur la troisième les deux frères Fabio et Léandro ainsi que leur soeur, sur une autre sa tante morte, son mari et ses enfants, sur une autre encore Oncle Edouardo et Tante Illiana, sans oublier sur une dernière Esteban et Juliana son cousin et sa cousine...Teresa regarda toutes ses photos et souria, elle aimait beaucoup tout sa famille. Son regard s'arrêta sur la photo de Marika sa tante assassinée, une petite mélancolie prit Teresa, cette dernière secoua la tete pour chasser toutes ses mauvaises pensées. Elle regarda autour d'elle puis se demanda ce qui se passait dans la chambre à côté......

Avec un sourire de remerciement, Isabela prit délicatement des mains de Fabio sa clé, et ouvrit la porte de sa chambre d’un mouvement ample et impérieux. Bien qu’elle le cachait très bien, ce manoir réveillait toujours en elle cet esprit puéril, et chaque ouverture de porte devenait une de ces parties de cache-cache dont elle adorait jouer, enfant. Après avoir lancé un regard derrière elle, voyant ainsi sa sœur s’engouffrer dans sa propre chambre, Isa pénétra la grande pièce qui lui servirait de refuge, invitant d’un coup de tête son cousin à entrer a sa suite.

« Tu entres ? »

Lui proposa-t-elle simplement, se tournant vers son cousin à qui elle arracha presque une valise pour la traîner près de son lit. La tâche étant plus ardue qu’elle l’aurait imaginer, Isabela se tourna os au lit, et traîna au sol sa valise jusqu’à la surélever sur son lit, les lèvres couvertes d’une moue des plus irritée. Devinant la moquerie qu’elle attendait de la part de son couin, ou de sa sœur si elle avait été présente, Isabela lança un regard noir à son bagage, et posa ses fines mains sur ses hanches, prononçant d’une voix si basse qu’elle en était imperceptible ses jurons espagnols favoris.

« Je te jures que je pourrais pas me passer de ce qu’il y a dedans… »

Assura-t-elle à Fabio avec un sourire presque gêné, alors qu’elle faisait basculer sa valise pour l’ouvrir. Celle-ci contenait, sans aucuns vêtements, que du matériel artistique. Pinceau, toile et crayons se confondaient dans la grande valise, dont Isabela sortit presque difficlement plusieurs morceaux de bois qu’elle examina un moment, l’air pensive.

« J’aurai du amener le manuel de montage… »

Grommela-t-elle doucement, confondant dans une même phrase mots anglais et espagnol, et ce du au manque de concentration dont elle faisait preuve pendant qu’elle fixait intensément les nombreux et longs morceaux de bois qui reposait devant elle.

« C’est sensé être un chevalet. »

Expliqua-t-elle à Fabio en roulant des yeux. Dans un mouvement impatient, elle repoussa les copeaux de bois plus loin sur son lit, et sortit de sa valise un épais cahier, apparemment rempli de dessin duquel dépassait quelques feuilles volages. Délicatement, elle le posa sur un coin de son lit, comme s’il représentait le bien le plus précieux de sa valise, et leva les yeux vers Fab.

« Alors, quoi de neuf ? »

Lui demanda-t-elle avec un fin mais amusé sourire, tournant un bref moment dos au jeune homme pour poser son regard sur le paysage que lui offrait la fenêtre de sa chambre. Tout comme sa sœur, elle avait toujours adorer cet endroit, et il lui semblait d’une fois à l’autre tout aussi magnifique et impressionnant.

hj: bon après avoir lus un peu tout, je vais essayer de coller au topic ^^

Une fois les bagages emmenés a bon port, Edouardo poussa un soupir, de une car ses le contenu de la valise n'étais pas des plus léger, et de deux car son fils lui reproché de trop le faire travailler, je me retourna vers son fils

"ohoh fils tu ne crois pas que tu en rajoute un peu trop tout de meme, ok j'avous te faire trvailler pas mal, mais c'est dans le besoin de toute la famille, l'union fait la force, et puis si tu veut comme mes nièces chéries et adorées sont là, je te laisserais un peu plus de temps libre si tu le désire, je ferais tes heures a la place, et s'il te plait Fabio, appelle moi papa, ou padre comme tu le souhaite"

Puis il se tourna vers Teresa, il lui souria

"C'est très gentil de vouloir nous aidez au resto, mais amuse toi d'abord un peu, et puis tu dois etre épuisé par le voyage, on parlera boulot pour vous a un autre moment d'accord ?"

Et enfin je tourna mes yeux vers ma seconde nièce, Isabela

"Tout va aller comme tu veut Isabela, j'espère que Fabio te traite avec toute l'attention et l'amour qu'une fille comme toi dois recevoir ?"

Alala la jeunesse, c'est si beau de les voirs réunis, le plaisir n'en est que doublé, sa lui faisait un peu oublier totu les tracas de la journée, le temps étais a la fete et a la convivialité, ils ne voudront pas bosser tout de suite, et sa, Edouardo le comprenait totalement, faut pas oublié qu'il fut jeune aussi avant eux !

"Si vous voulez aller faire la fiesta ce soir en discoteca, bin je vous accorde le permis de sortir, vous etes assez grand et je vous fait entièrement confiance, c'est en basant tout sur la confiance et en se disant toujours tout que nous vivrons bien, bon moi je retourne avec ma petite femme chérie, a tout a l'heure pour le repas !"

Il descendit et alla serrer dans ses bras son amour

"Oh mon coeur voit comme je suis heureux, rien que ces quelques minutes en ton abscence et tu me manqué déjà mi amor, mi corazon, mi vida, te quiero mucho"

Sur ce il l'embrassa passsionement, placa sa main derrière son dos et regarda ses nièces et son fils à l'étage

"Oh fait Fabio, ou sont ton frère et ta soeur ?"